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Au pied des Alpes, dans le Piémont, Turin s’étire doucement. L’ancienne capitale regarde vers l’avenir, sans vraiment tourner le dos à son passé.
Avec un guide local, on saisit mieux ce qui se cache derrière les façades. Des places calmes, des palais, mais aussi des histoires, certaines oubliées qui ressurgissent à chaque coin de rue.
Il y a la Mole Antonelliana, immense, un peu étrange. Elle défie le ciel plus qu’elle ne le touche. Et puis le Quadrilatero Romano, dédale de ruelles où les parfums de café, les rires, les assiettes fumantes. Ça vit.
Le musée égyptien surprend par sa richesse. Le Palazzo Reale, lui, impose par sa sobriété royale. Entre les deux, des églises, des musées, et ce sentiment que l’histoire n’a jamais vraiment quitté les lieux.
Besoin d’air ? Direction le Parco del Valentino. Un souffle vert au bord du fleuve, où l’on s’attarde, sans raison précise. Juste pour ralentir.
Impossible de manquer le Palazzo Reale. Une façade sobre, presque froide et pourtant, dès l’entrée, tout change.
Des salles dorées, du marbre, des fresques au plafond. Ce n’est pas un musée, c’est un souvenir figé. La cour de Savoie ne faisait pas dans la demi-mesure.
Puis viennent les jardins. Le Nôtre, paraît-il. Fontaines discrètes, allées nettes, sculptures un peu oubliées. On marche sans se presser, en écoutant les graviers, le vent.
Sur les rives du Po, un parc qui respire. Arbres hauts, chemins larges, bancs souvent occupés. Tout paraît simple.
Au centre, le château. Massif, tranquille, presque caché par la végétation. Plus loin, un faux village médiéval, Borgo Medievale avec ses ruelles pavées, ses maisons en pierre. C’est kitsch, mais charmant.
On s’arrête dans un jardin, ou deux. Les roses, les ombres, le silence qui tombe avec l’après-midi.
On la voit de loin, cette Mole Antonelliana. Trop haute, presque irréelle. La flèche grince parfois sous le vent.
À l’intérieur, un musée du cinéma qui surprend. Des costumes, des extraits de films, un fauteuil ou deux où s’allonger.
On monte jusqu’au sommet, l’ascenseur traverse le vide. En haut, la ville s’étale. Les toits, les collines, le fleuve. Et ce vert diffus qui vient de partout.
C’est une place, oui, mais pas comme les autres. Piazza San Carlo impose un calme étrange. Rien ne dépasse.
Les arcades courent tout autour. Deux églises se font face : San Carlo et Santa Cristina presque jumelles, mais pas tout à fait.
On s’y donne rendez-vous, on y traîne un café à la main. Juste à côté, la Galleria Subalpina attire les curieux. Plus loin, le Palazzo Carignano veille, un peu plus sérieux, avec le musée du Risorgimento en embuscade.
Turin vit aussi sous verrière. Entre deux rues, ces galeries couvertes coupent le vent et ralentissent le temps.
Galleria Umberto I : lumière filtrée, fresques au plafond, un air d’opéra figé.
Galleria San Federico : colonnes, marbre, un vieux cinéma en coin.
Galleria Subalpina : plus intime, mosaïques au sol, vitrines d’un autre âge.
Passage Rovereto : plus moderne, murs de verre, cafés branchés. Ça discute, ça regarde, ça vit.
Il faut y passer sans but, juste pour voir.
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