FRANCE
EUROPE
AFRIQUE
MOYEN-ORIENT
AMÉRIQUE DU NORD
AMÉRIQUE DU SUD
ASIE
CARAÏBES
OCÉANIE
À 170 kilomètres au sud de Valence, sur la lumineuse Costa Blanca, Alicante vous tend les bras. Mer, soleil, ruelles pleines de vie, plages dorées… ici, tout invite à ralentir. Avec l’un de nos guides touristiques, explorez la ville sans plan figé, au gré de vos envies, comme si vous y viviez.
Perdez-vous dans le quartier Santa Cruz, petit bijou coloré niché au pied du château de Santa Barbara, perché sur le mont Benacantil. Là-haut, la vue est à couper le souffle. En redescendant, laissez vos pas vous mener jusqu’à la Explanada de España, promenade emblématique aux mosaïques ondulantes et palmiers alignés.
Et si l’appel du large se fait sentir, embarquez vers l'île de Tabarca. En à peine quelques minutes de ferry, vous voilà sur un îlot paisible aux eaux claires, entre maisons de pêcheurs et criques préservées. Une parenthèse simple, loin du tumulte.
Le Museo Arqueológico d’Alicante, ou MARQ, ne ressemble pas à un musée figé. On y entre comme dans une histoire découpée en fragments. Cinq salles, cinq époques. De la préhistoire jusqu’aux jours récents, tout y passe.
Les vitrines racontent. Des outils, des os, des gestes. Plus de 80 000 objets. Et au centre, une zone où l’on voit comment on fouille. Comment on cherche. Ce qu’on garde. L’endroit parle aux curieux, pas seulement aux passionnés.
Perché sur le mont Benacantil, le château de Santa Barbara veille. Pour y monter, on traverse les allées calmes du parc de la Ereta, puis vient le Paseo Alto. Un sentier raide, un peu brut. La mer, peu à peu, entre dans le champ.
En haut, la ville se couche à vos pieds. Le château, d’origine arabe, a été repris par Alphonse X de Castille au XIIIe siècle. Trois espaces. Une tour, une cour, des bastions ajoutés bien plus tard. À voir avec un guide, si on veut entendre ce que les pierres ne disent pas.
C’est sans doute la plus célèbre avenue d’Alicante. L’esplanade, longue, bordée de palmiers en rangs serrés. Un ruban de marbre, rouge, blanc, noir. Plus de six millions de carreaux, posés comme une vague.
On y marche lentement. L’ombre tombe bien. Le soir, les musiciens s’installent. Des artisans, des rires, des conversations qui traînent sur les terrasses. On n’y fait rien, on y reste.
Guadalest semble accroché au vide, posé à plus de 500 mètres. Le décor étonne. Falaises sèches, maisons blanches, ciel immense.
On y monte à pied. Un chemin, quelques ruines, puis tout s’ouvre. Vallées, mer lointaine, silence. Dans le quartier de l’Arrabal, les ruelles serpentent. On y croise des ateliers, des objets faits main. Verreries, céramiques, broderies. Chaque boutique respire lentement.
En face du cap de Santa Pola, l’île de Tabarca attend, tranquille. Seule île habitée dans les environs, elle partage les eaux avec La Cantera, La Nao et La Galera.
C’est petit, moins de deux kilomètres. Mais vivant. Un vieux port, des façades peintes, des plages de galets. Et puis plus loin, des criques cachées. L’eau y est claire. Le bruit s’arrête. On reste là, sans montre, entre mer et pierre.
GUIDE YOUR TRIP
La première plateforme entièrement gratuite de mise en relation entre guides touristiques et voyageurs.
Copyright © 2025 GuideYourTrip
LIENS UTILES
SUIVEZ-NOUS
Chaines WhatsApp :
Linktr.ee / guideyourtrip