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Le Canada est une terre aux paysages grandioses et variés, des montagnes aux forêts verdoyantes en passant par les lacs cristallins. Avec l’aide de nos guides, partez à la découverte de ses merveilles naturelles et de ses trésors cachés, pour une expérience de voyage inoubliable.
Explorez les villes dynamiques de Toronto, Vancouver et Montréal, où l’on savoure une gastronomie éclectique dans une ambiance multiculturelle. Ou laissez-vous impressionner par des sites emblématiques comme les chutes du Niagara, les Rocheuses ou les aurores boréales du Nord.
Le Canada, c’est aussi une faune unique avec caribous, grizzlys et ours polaires, préservés dans des parcs nationaux spectaculaires. Un monde sauvage qui émerveille à chaque instant.
Top 5 visites guidées
Lieux à voir
Infos pratiques
Le lac Louise, au cœur des montagnes Rocheuses canadiennes, surprend par sa teinte turquoise et le silence des sommets enneigés autour. L’eau claire accroche la lumière, le regard glisse loin, et l’on garde ce décor en tête bien après la visite.
Pour une première approche, la promenade au bord du lac fait très bien l’affaire, itinéraire facile à sens unique, presque trois kilomètres ponctués de points de vue. On marche sans se presser, kayak quand la météo s’y prête, ou simple pause sur la petite plage. Puis cap vers le glacier Victoria, tout proche à l’échelle de ces montagnes, masse glacée qui capte les nuages. En hiver, des sorties encadrées sont proposées dans les environs, raquettes, traîneau à chiens, de quoi vivre un moment différent.
Avant de repartir, un détour par le château de Fairmont, hôtel du début du XXe siècle posé au bord de l’eau. Son architecture soignée vaut le coup d’œil, et depuis les fenêtres, le panorama s’ouvre sur les massifs, vaste et changeant selon l’heure.
Situé dans le parc national de Jasper, Spirit Island est une minuscule île, comme posée au milieu du lac Maligne. Autour, des sentiers mènent à des points de vue calmes, notamment la montée du Bald Hills qui serpente dans une forêt serrée, ambiance de montagne bien ancrée au cœur des Rocheuses de l’Alberta.
Pour s’en approcher sans se presser, l’excursion en bateau sur le lac reste la solution la plus simple, navigation tranquille, rives qui défilent. Le bateau marque une halte à Spirit Island, quelques pas sur le rivage, le temps de sentir l’endroit. Et tant qu’à explorer le secteur, difficile d’ignorer la route des glaciers, la vallée de Maligne, ou encore le mont Edith Cavell, des lieux qui complètent parfaitement une journée dehors.
Le Yukon se trouve tout au nord-ouest du Canada, et son nom vient du fleuve qui naît en Alaska avant de gagner la mer de Béring. Ceux qui s’y risquent, dans cette région très peu peuplée, découvrent des espaces sans fin, des reliefs qui calment les bavards, une lumière qui change vite.
Première étape souvent citée, le parc national de Kluane. On y marche, on campe, on observe la faune depuis les vallées jusqu’aux moraines, avec le Mont Logan en toile de fond, plus haut sommet du pays, massif, presque irréel par beau temps.
Autre halte marquante, le lac Emerald dans le parc territorial de Tombstone. L’eau prend des teintes vertes étonnantes, selon l’heure et le ciel. On reste un moment au bord, juste pour regarder les couleurs glisser, puis on repart, un peu à regret.
Pour une plongée dans l’histoire, cap sur Dawson City, ville de la ruée vers l’or. Musées, maisons en bois, salles de spectacle, festivals locaux quand la saison s’y prête, tout rappelle cette période agitée sans tomber dans le décor figé.
Le parc territorial de la vallée du Teslin parle aux amateurs de plein air, canoë-kayak, pêche, sentiers qui serpentent, paysages larges où l’on croise parfois un balbuzard. Et puis, quand le ciel s’ouvre la nuit, vient le temps des aurores, ce rideau mouvant qu’on guette aussi du côté de la rivière Tatshenshini, un spectacle simple et hypnotique.
L’un des lieux souvent cités pour l’observation des baleines au Yukon reste le détroit de Béring. En été, baleines à bosse, baleines grises et orques passent au large, tandis que les eaux calmes et peu profondes facilitent l’observation. Jumelles prêtes, un peu de patience, et les silhouettes percent la surface, souffle visible dans l’air froid.
Dans la même zone, l’archipel des Haida Gwaii mérite une halte longue. On y rencontre parfois des espèces plus rares, comme la baleine noire de l’Atlantique Nord ou la baleine à bec de Blainville, sans oublier de belles populations de baleines à bosse et de baleines grises. Les sorties se calent souvent sur la météo, caprices du vent compris.
Pour s’immerger davantage, on peut embarquer pour une excursion en bateau dans la baie de Fundy. Située au New Brunswick sur la côte Atlantique, elle est connue pour ses marées extrêmes, un phénomène qui attire chaque été de nombreuses baleines à bosse. Le paysage change d’heure en heure, la mer se retire loin, puis revient vite.
Dans ces eaux, on croise aussi des baleines à bec communes et des dauphins de l’Atlantique Nord. Et puis, difficile d’ignorer la région de Tadoussac, principal site d’observation des baleines au Québec, où se mêlent baleines à bosse, baleines bleues et rorquals communs. Les regards restent longtemps tournés vers l’horizon, au cas où une nageoire réapparaisse.
Les Mille-Îles forment, à l’est du Canada près de la frontière américaine, un dédale de plus de 1 800 îlots posés sur un fleuve ample. Le cadre est très nature, lumineux, propice aux balades lentes comme aux sorties plus actives, une région où l’on aime prendre le temps d’explorer.
L’archipel parle aux amateurs de plein air et de sports nautiques. On circule d’île en île en bateau, en kayak ou en canoë, selon l’humeur et la météo. La ville de Kingston, au bord du fleuve Saint-Laurent, sert de porte d’entrée idéale pour rayonner sans se presser.
Parmi les haltes qui marquent, le château de Boldt, grand manoir installé sur son île, avec des jardins en terrasses soignés. Le parc national des Mille-Îles mérite aussi une journée entière, flore et faune bien présentes, aigles à tête blanche qui planent parfois, cerfs, castors, tortues qui se chauffent au soleil.
Le parc propose de quoi varier les plaisirs, randonnées, balades à vélo, croisières, pêche au fil de l’eau. Côté cuisine, août voit revenir le festival du homard, rendez-vous convivial où l’on goûte des fruits de mer très frais et des plats locaux, une table simple qui va droit au but.
Ottawa
Anglais, Français
9 984 670 km²
1er juillet
38 millions
Dollar canadien (CAD)
UTC-5 à UTC-8
Tempéré au sud, arctique au nord
+1
120V – Types A, B