Un voyage à Cuba, c’est entrer dans un monde à part
Cuba ne ressemble à aucun autre endroit. Ici, tout semble vibrer différemment. Pas seulement à cause du passé figé, ni de l’absence d’enseignes criardes. Mais parce qu’il y règne quelque chose d’essentiel. L’échange. La chaleur humaine. Le goût des choses simples. Ce n’est pas un décor, c’est une atmosphère. Et elle vous happe dès les premiers instants.
Dans les rues, la musique n’est pas un fond sonore : elle est vivante. Elle coule des maisons, surgit aux coins de ruelles, fuse d’un balcon. On ne l’écoute pas, on y participe. Quelques notes de trompette, une voix rauque, deux pas de salsa… et vous voilà invité. On danse à Cuba comme on respire. Pas pour le spectacle, mais pour le lien.
La Havane : le cœur vibrant de Cuba
Première escale, La Havane. Ville foisonnante, déconcertante parfois, toujours captivante. Dans La Habana Vieja, le temps semble figé mais le quotidien, lui, palpite. Les façades écaillées côtoient des fresques murales pleines de fougue. Les voitures américaines d’un autre siècle avancent en grinçant, comme si elles ne voulaient pas vraiment quitter la scène. Et partout, le rythme. Celui des tam-tams, des voix qui s’élèvent, des pas pressés des enfants. La Havane n’est pas une capitale, c’est un théâtre.
Cienfuegos, la perle raffinée du sud
Un peu plus loin, Cienfuegos surprend. Plus calme, plus ordonnée, presque élégante. Les influences françaises y ont laissé des traces dans les bâtiments comme dans l’ambiance. On s’y promène sans hâte, le long du Prado ou face à la mer. Le théâtre Tomás Terry, immobile dans sa splendeur, semble attendre encore ses spectateurs. Ici, on prend le temps. L’air est plus doux, les échanges plus posés. Une pause bienvenue dans le tumulte cubain.
Trinidad : un joyau figé dans le temps
Puis vient Trinidad. Une ville à part, presque irréelle. Pavés anciens, murs roses ou turquoise, patios ombragés… tout semble sorti d’un autre siècle. Le jour, on déambule entre les maisons de maîtres et les ateliers d’artisans. Le soir, tout converge vers la Plaza Mayor. On s’y assied sur les marches, une boisson à la main, et la musique reprend ses droits. Guitare sèche, voix grave, murmures d’un passé encore vivant. Rien n’est prévu, tout arrive.
Viñales : la nature cubaine dans toute sa splendeur
Dernière étape, Viñales. Une autre Cuba, plus verte, plus brute. Des mogotes percent la plaine, surgis du sol comme des géants de pierre. Le village est simple, accueillant, ouvert sur les collines. À pied ou à cheval, on s’éloigne vite des routes. On traverse des champs de tabac, on entre dans une grotte, on discute avec un fermier. Ici, le silence a du poids. Et le paysage vous accompagne longtemps, même après être reparti.
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